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Recherche par auteur : Hoffmann, Ernst Theodor Amadeus (1776-1822)

4 résultats.

Durée : 11h. 30min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 9915
Résumé:Alors Erasme, dans le délire de son désespoir d'amour s'écria : " Faut-il donc que je te quitte ? S'il faut que je parte, que mon reflet reste en ta possession à jamais et pour l'éternité ! " A peine eut-il prononcé cette imprécation que Giulietta couvrit ses lèvres de baisers brûlants ; puis elle se retourna et tendit avec ivresse les bras vers le miroir... Erasme vit son image avancer, indépendante des mouvements de son corps, il la vit glisser entre les bras de Giulietta, et disparaître avec elle...
Lu par : Patricia Simon
Durée : 2h. 17min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 29633
Résumé:Garde-chasse du comté de Fach, Andrès défend la forêt contre les brigands. Son épouse, Giorgina, tombe malade. Un soir de tempête, un mystérieux voyageur du nom d'Ignace Denner, se présente comme un marchand égaré et demande l'hospitalité. Pour remercier ses hôtes, il administre à Giorgina une potion qui lui rend sa vigueur. ©Electre 2015
Lu par : Jean Frey
Durée : 6h. 3min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18700
Résumé:Hoffmann rêva toute sa vie du ciel doré de l'Italie : un ciel qu'il ne put jamais apercevoir qu'en songe. Raison pour quoi, sans doute, il logea Princesse Brambilla dans le décor le plus italien qui se puisse imaginer : le carnaval de Rome. Raison pour quoi, surtout, ce roman bref se trouve être le plus vibrant appel qu'il ait adressé de sa vie à la fuyante beauté : occasion de conjuguer sa fantaisie la moins retenue et le meilleur de cette ironie mélancolique qui est son élixir secret. Baudelaire voyait là la quintessence de l'imaginaire romantique : " Il faut lire Hoffmann, et surtout, avant tout, Princesse Brambilla, qui est comme un catéchisme de haute esthétique. "
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 12h. 35min.
Genre littéraire : Littérature fantastique
Numéro du livre : 18478
Résumé:Aux côtés du Moine de Lewis (1795) et du Melmoth de Maturin (1820). Les Elixirs du Diable (1816) figurent parmi les chefs-d'oeuvre absolus du " roman noir " de la période romantique. Pour Hoffmann, ce récit de toutes les indécences et de tous les excès n'était rien de moins que le pivot secret autour duquel devait s'orienter toute son oeuvre de conteur. Freud note qu'on y retrouve, dans une sorte de symphonie frénétique, l'ensemble des thèmes chers au grand " fantastiqueur ", et d'abord celui du Double, " dans toutes ses nuances, tous ses développements ". Texte déconcertant à coup sûr, où viennent se fondre comme en un creuset les plus hautes intuitions du Romantisme allemand.